« Dans ce pays qui ne ressemble à aucun autre, j’ai ressenti quelque chose qui n’existe pas ailleurs. Un infini vous happe, exclusivement solaire et minéral, où rien n’est à l’échelle humaine. L’espace, le gigantesque espace, le vent, la solitude. Dans l’immobilité absolue qui nous cerne, on devrait éprouver un sentiment de malaise. Or c’est exactement le contraire qui se produit. Dans ce désert de pierres et de silence, ce n’est pas la multitude que l’espace interpelle, c’est l’homme seul. »
Bernard Ponty